Quels sacrifices, que tu as dû subir ma pauvre KALINKA. Pourquoi n'en reprendrais-tu pas un de petit chat, Rien que de le caresser, ça dé-tress et ça serait un bon compagnon et fidèle celui-là et il n'encombre pas et pas besoin de le sortir puisqu'il a sa litière. Moi, ma minette ne sort pas, car je suis en bordure de route. Mais quand j'avais la maison à la montagne elle avait toute la propriété pour elle. Penses y, pour te tenir compagnie. Puis un écrivain, si tu y penses bien à toujours un chat pour l'inspirer.<br />
BIZZZ,ma Belle.<br />
JO
Sais tu que je me demande si ma grand-mère maternelle savait lire, l'italien bien sûr. Je ne pense pas qu'elle soit allée beaucoup à l'école dans les années 1850-60. Son père devait être mezzadro (métayer) et à l'époque, plus la famille avait de bras, plus vite un métayer, trouvait une place. <br />
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Bises à toi.
Hier, c'est de l'histoire ancienne. Demain est un mystère. Aujourd'hui est un cadeau. Et c'est pourquoi on l'appelle le présent.
Le bonheur, c'est du chagrin qui se repose.